
TITRE : La morsure de l’araignée
AUTEUR : le mouffon
GENRE : yaoi full . – de 16 ans s’abstenir
BASE : hunter x hunter
CRITIQUE : mouffon@hotmail.com
LA MORSURE DE L’ARAIGNEE chap 01
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Hisoka se pencha vers lui et lui murmura quelque chose que ses amis n’entendirent pas. Mais à ses mots les yeux verts de Kurapika devinrent d’un rouge sanglant et il se raidit.
Hisoka quitta la scène.
-Qu’est-ce qu’il t’a dit ? Demanda Leorio.
Kurapika ne répondit pas, il était très loin d’eux à cet instant.
Hisoka lui avait fixé rendez-vous pour le 1er septembre à la grande vente aux enchères.
Quelques jours plus tard, Kurapika quittait ses amis, ils se donnèrent rendez-vous le 1er septembre eux aussi, jusque là chacun d’eux devait suivre sa voix et ce fut ce qu’ils firent.
Le 1er septembre arriva très vite, ils avaient tous étaient particulièrement occupés et les retrouvailles furent joyeuses. Lorsqu’ils se présentèrent à la réception, une lettre attendait Kurapika. Il la prit et l’ouvrit..
« Je t’attends, dés ton arrivée, chambre 205 »
A peine eut-il ouvrit celle–ci qu’il quitta précipitamment ses amis.
-Hé, attends où tu vas Kurapika ?
-Partez devant, je vous rejoindrais. Cria le blond en montant quatre à quatre les marches du grand hôtel.
Ses amis le regardèrent s’éloigner en haussant les épaules. Bah, il le retrouverait plus tard, ils commençaient à être habitués à l’étrange comportement de celui-ci. Ils gagnèrent leur chambre.
Arrivée au second étage, il se mit à la recherche de la chambre en question. Il avançait lentement dans le couloir au tapis rouge écarlate. Son sang commençait déjà à bouillir. Cela faisait des mois qu’il attendait ce rendez-vous avec lui. Il avait chèrement payé son désir de vengeance mais rien ne pourrait l’arrêter. Il était près à tout, même à mourir et ce depuis longtemps déjà.
Il s’arrêta devant la porte et sortit l’enveloppe qui contenait outre la lettre, une carte d’identité afin qu’il puisse entrer. Il glissa celle-ci dans la fente prévue à cet effet et la lumière rouge devint verte et déclencha l’ouverture de la dite-porte.
A première vue la chambre semblait déserte mais il était sur ses gardes. A sa main droite sa chaîne frémissait déjà d’impatience. Il n’y avait aucun bruit, aucun ? Si un léger bruissement..
De l’eau qui coulait.
Il se dirigea vers la salle de bain en courant et l’ouvrit à la volée.
-HISOKA ! Cria-t-il.
L’homme se tourna vers lui en souriant.
-Oh, tu es déjà là ?
Le blond était entré dans la douche et l’eau de celle-ci ruisselait sur son vêtement.
-Oui ? Demanda le rouquin. Quelque chose ne va pas ?
-Dis-moi ce que tu me voulais. S’exclama hors de lui le blond.
Son corps tendu comme une arbalète semblait sur le point de se rompre.
-Hé bien tu pourrais m’attendre à côté le temps que je finisse de me doucher.
Kurapika sursauta et réalisa brusquement la situation, il lui jeta une serviette à la figure.
-Pervers !
Et il sortit de la salle d’eau tandis que Hisoka riait aux éclats visiblement amusés de la situation.
Kurapika était rouge comme une pivoine. Il lui fallut quelques minutes pour retrouver son calme. Quelques minutes que Hisoka mit à profit pour se changer et enfiler un peignoir. Lorsqu’il entra dans sa chambre, le blond était toujours là. Trempé, l’eau ruisselait encore le long de ses joues et sur son cou.
Cou qu’Hisoka aurait bien aimé tordre au vu de son léger sourire.
-J’attends. Dit froidement Kurapika. Qu’avais-tu à me dire ?
-Quelle impatience ! Se moqua le rouquin.
Il alla s’asseoir et regarda son jeune invité s’impatienter. Et cela semblait l’amuser.
Kurapika le regarda et reçu une serviette en pleine figure. Serviette qu’il rejeta avec violence.
-Garde-là.Je n’en veux pas. Réponds-moi. Que sais-tu sur la brigade fantôme ?
Hisoka sourit.
-Mmm… Qu’aimerais-tu savoir ?
-C’est toi qui m’as dit que tu savais des choses sur la brigade fantôme ! S’exclama le blond.
-Oui, je sais des choses mais je ne sais pas si je vais te les dire. Sourit-il.
Kurapika perdit patience.
-J’en ai assez de perdre mon temps avec toi. Si tu m’as fait venir pour rien, ce n’était pas utile. Cria le jeune homme en quittant la pièce très énervée.
La porte claqua derrière lui et Hisoka sourit en regardant celle-ci.
-Quelle impatience ! Se moqua-t-il. L’impatience est la faiblesse de la vengeance. Tu vas devoir l’apprendre… A tes dépends…
Kurapika filait dans les couloirs furieux de s’être fait ainsi jouer par quelqu’un comme Hisoka.
Il se dirige vers la réception et récupéra son numéro de chambre et sa clé. Le réceptionniste regarda le jeune homme blond trempé se présenter à lui. Mais son regard glacial l’empêcha de faire la moindre réflexion. Kurapika quitta le hall et alla directement dans sa chambre.
Il ôta ses vêtements et prit une douche. Il se changea et s‘assit sur son lit pour réfléchir posément à la situation. Il était en train de se sécher les cheveux lorsqu’on frappa à sa porte.
-Oui ?
C’était Leorio.
-Salut. Tu es revenu ?
-Oui.
-Alors ?
-Alors quoi ?
-Pourquoi es-tu partit si vite ?
-J’avais quelque chose à faire. Répondit Kurapika en se levant.
Il alla enfiler une sur-chemise et la noua à sa taille.
-Je sors.
Leorio le regarda quitter la chambre à nouveau. Décidément il était étrange aujourd’hui, leur Kurapika. Il se laissa choir sur le lit de son ami. Quant au jeune homme, il essayait de faire le point. Hisoka lui avait dit qu’il lui parlerait des araignées et il avait mis beaucoup d’espoir dans ce rendez-vous. Il voulait retrouver les yeux des siens. Et il était profondément déçu.
Sa colère était telle que lorsqu’il croisa un groupe de jeune junkie, qui le cherchèrent, il déclencha une bagarre…
Ses chaînes se déployèrent, mais celle-ci furent stopper par un homme étrange. En quelques secondes Kurapika se retrouva incapable de faire le moindre mouvement. Ils l’entraînèrent dans une chambre et l’homme le ficela solidement. Kurapika tenta de se libérer.
-Tu perds ton temps, mon jeune ami. Tu es ligoter par mon Nen.. Tu ne peux aller nul part.
L’homme prépara une seringue qu’il emplit d’un liquide pale.
-Qu’est-ce que c’est ? Demanda le blond. Un sérum de vérité ?
-Du tout... Ceci, Répondit l’homme en lui montrant la seringue, est une invention de ma part. Un petit jeu auquel je me livre sur de jeune hunter comme toi. Très mignon !
Les yeux du blond s’écarquillèrent.
-Oh ? Tu es si innocent que cela. Voilà qui nous promet un charmant spectacle. Vois tu ce serum va t'obliger à te soumettre à la première personne qui te possédera ....
L’homme s’approcha et planta l’aiguille dans son bras. Le blond serra les dents. Qu’est-ce que ce type lui voulait ? Qu'est-ce qu'il racontait ? Il se sentit rapidement nauséeux. Quelque chose n’allait pas. Il le sentait mais ne parvenait pas à définir quoi.
Sa vue se brouilla et il perçu que les chaînes qui le tenaient enserré se relâchait. Il se sentit soulever, porter et son corps rebondit mollement sur une surface molle qu’il supposa être un lit. Son vêtement s’entrouvrit et des mains se mirent à le parcourir. Pendant quelques minutes, il resta incapable de réagir, jusqu’à ce qu’une main se fasse plus intime et il réagit au quart de tour.
Ses chaînes se déployèrent et l’homme qui se tenait devant lui valsa dans la pièce. Un autre alla atterrir contre le mur.
Kurapika se redressa chancelant. Il tenait à peine sur ses jambes. Sa vue était totalement vertigineuse. Il ôta ses lentilles et ses pupilles écarlates apparurent. Il essayait désespérément de retrouver un semblant d’équilibre.
L’homme lança à son tour une attaque que Kurapika ne put éviter et il alla s’écraser à son tour contre le mur. Il se releva péniblement et reprit son équilibre pour se défendre. Mais ils étaient revenus à la charge. Seul, et dans son état, il ne ferait pas le poids.
Un dernier coup, le blessa au torse et déchira son vêtement, il réussit à déployer suffisamment sa chaîne défensive et quitta la chambre ignorant totalement l’endroit où il se trouvait, ni où il allait. Il devait s’éloigner d’eux à tout prix, c’était sa seule pensée.
Tandis qu’il courrait le long des couloirs sans fin de l’hôtel en s’appuyant contre les murs pour ne pas s’écrouler. Son corps ne semblait plus lui obéir.
Qu’elle drogue cet homme avait-il utilisé contre lui ?
Alors qu’il se sentait sur le point de perdre connaissance. Il aperçu une porte, sur celle-ci…Des chiffres…205… Il n’avait guère le choix. Il entendait leur pas se rapprocher. Il farfouilla dans sa tunique à la recherche de la carte et se laissa choir sur le sol. La porte se referma derrière lui et ses poursuivants continuèrent leur chemin.
Assit dans son fauteuil, Hisoka réfléchissait à sa dernière mission. Lorsque sa porte s’ouvrit, comme il s’y attendait. En effet, il pensait bien que Kurapika reviendrait à la charge afin d’avoir des informations. Il eut un petit rictus satisfait.
Mais ce qu’il vit n’était pas ce à quoi il s’attendait. Kurapika entra certes mais ses vêtements étaient en lambeaux, et il s’effondra sur le sol, à peine le seuil franchit. Hisoka resta un moment silencieux avant de se lever, il se dirigea vers le corps étendu sur le sol et le renversa du pied.
-Quelle surprise…
Il finit par le soulever comme une plume et alla le jeter purement et simplement sur le lit. Tandis qu’il se roulait en boule essayant d’échapper à cette drogue mystérieuse qui coulait dans ses veines. Il commençait à avoir extrêmement chaud et avait des nausées à nouveau. Il se laissa tomber du lit avant d’aller se mettre sous le jet glacé de l’eau.
Hisoka se dirigea vers sa porte, pour voir passer devant sa chambre, les mystérieux poursuivants du blond. Il referma celle-ci en leur souriant. Il retourna dans sa chambre et découvrit le lit vide, mais dans la salle de bain, il entendit l’eau couler à flot.
Il entra et découvrit le blond dénudé sous le jet glacé, celui-ci semblait avoir énormément de mal à respirer.
-Hé, bien que voici une situation amusante. Dit-il en s’approchant de lui.
Il souleva son menton du bout des doigts pour l’obliger à le regarder. Il s’était agenouillé devant lui et le regardait. Kurapika qui avait ôté ses lentilles et ses yeux d’un bleu somptueux se debatait avec un rouge pourpre, semblant être habité par un feu étrange.
Il aperçu alors la marque d’une injection sur son bras.
-On dirait que tu as servi de cobaye. Sourit-il.
-Qu’est…ce…Qu’…On…m’a…. Fait…. Souffla-t-il.
Hisoka sourit.
-Je ne sais pas.
-Menteur…
-Que ressens-tu ?
-Chaud…. Chaud…Brûle de l’intérieur…Ca me dévore…. Haleta le blond.
Kurapika s’effondra un peu plus contre le carrelage gelé.
Hisoka le retourna et remarqua l’excitation du blond. Et il eut un nouveau sourire.
-Il semblerait que l’on t’es donné un aphrodisiaque.
Le blond gisait sur le sol entre les bras d’Hisoka qui s’amusait beaucoup. Décidément, son séjour à la vente aux enchères allait s’avérer des plus amusant. Hisoka le redressa et le blond s’accrocha à lui, frémissant de la tête aux pieds. Ses lèvres vinrent quémander les siennes. Il n’en pouvait plus, son corps ne lui obéissait plus et il ne savait plus ce qu’il faisait.
Ses mains arrachèrent la tunique du rouquin qui trouvait la situation de plus en plus drôle. Il souleva le blond et alla le jeter sur le lit. Il s’apprêtait à laisser le jeune garçon en plan, lorsque celui-ci l’agrippa avec une force qu’il n’aurait pas soupçonner et l’attira avec lui sur le lit, s’emmêlant à son corps.
-Tu ne m’amuses plus gamin. Dit Hisoka en le regardant droit dans les yeux.
L’assassin frémit en voyant le regard du blond changer de couleur et devenir rouge sang permanent. Les mains délicates du blond se glissèrent entre les siennes et s’y agrippèrent alors que son corps épousait celui de l’assassin.
-Gamin…Siffla d’une voix menaçante le rouquin.
Mais il fut bâillonner par les lèvres fraîches de l’adolescent. Il voulu repousser celui-ci, mais les chaînes de celui-ci vinrent envelopper son corps contre celui de Kurapika.
Le blond haletait au-dessus de lui. Ses yeux rouge sang semblaient être fous. Le seul frôlement du corps de l’assassin contre le sien le mettait à l’agonie.
Mais demander grâce à cet assassin, il ne pouvait s'y résoudre et pourtant il était à bout et au bord des larmes de rages et de douleur tellement le désir le dévorait , prononcer de tels mots le mettaient tout autant à l’agonie que la drogue qui faisait brûler son corps. Hisoka réussit faire glisser l’une de ses jambes entre celle du blond qui réagit au quart de tour en gémissant et en se rejetant en arrière. Un sourire se dessina sur les lèvres du rouquin. « Ma foi, puisque cela était une supplique autant le soulager »se dit-il en lui-même.
Hisoka se redressa de façon à se retrouver en position de force sur le blond qui se laissa faire. Les lèvres de l’assassin se posèrent sur la peau brûlante, ses mains vinrent caresser son dos et se glisser sur ses fesses. Le corps du blond se tendit vers lui et Hisoka se débarrassa de ses vêtements.
Il renversa le corps sur les draps qui déjà se cambrait et le réclamait. Il glissa une main sous l’une de ses cuisses et la releva. Il fit jouer ses lèvres sur les longues jambes fuselées avant de venir effleurer le désir de son invité. Geste auquel celui-ci répondit en se cabrant violemment. L’assassin se mit à rire doucement. Le tourmenter et le faire patienter alors que celui-ci était sur le point de craquer rendait le jeu encore plus amusant.
Il effleura le membre du bout de la langue avant de refermer sa bouche sur celui-ci, les mains du blond se crispèrent sur les draps tandis qu’il gémissait.
-Assez…Assez…Gémit-il.
-Alors demande ... Sourit le rouquin follement amusé par la situation.
Kurapika serra les dents jamais ,jamais il ne pourrait dire cela. Et pourtant dieu seul savait combien il avait envie de hurler.
-Allons , fit l'assassin en cessant ses caresses , que veux tu ?
Haletant le blond le regarda , ce salaup ne perdait rien pour attendre.
-Ah moins que tu ne veuilles que j'aille demander à tes amis de venir?
-Non! claqua la voix de Kurapika qui se jeta sur lui, prenant place sur ses hanches.
Le rouquin sourit et infiltra un doigt dans son intimité, cela seul suffit à faire partir le jeune homme haletant....MAis pas suffisant pour calmer le feu qui le devorait alors sans pour autant cesser de jouer sur son désir. Mais aussi rapidement qu’il avait commencé à le soulager, il se retira s’attirant une vive protestation avant de le prendre en force.
Kurapika ne pu retenir un cri, alors que son corps se tendait de toutes ses forces. Ses doigts accrochés aux draps qu’ils enserraient au point d’en avoir les jointures blanches. Mais il ne pouvait plus attendre. Malgré la douleur le désir était le plus fort.
Hisoka marqua un temps d’arrêt. Il n‘avait pas songer que celui-ci pouvait en être à sa première expérience. Enfin, il était maintenant un peu tard pour s’en soucier. Surtout que le blond avait relâcher les draps pour s’accrocher à ses épaules et s’harponner totalement sur lui. Ses ongles profondément planté dans ses épaules laissant des marques sur la peau de son amant.
Alors qu’il le relâchait pour la troisième fois depuis le début de la nuit, Kurapika dont les yeux rouge flamboyant reflétaient toujours le même désir ardent alors qu’il tenait à peine sur ses jambes, lança ses chaînes sur Hisoka et l’une d’elle vint s’enrouler au plus profond du corps de l’assassin enserrant son cœur.
-Prends…Moi…. Murmura le blond. Maintenant.
L’adolescent tremblait de la tête au pied, son corps se disputait entre la douleur et le désir. Au point qu’il en avait les larmes aux yeux. Il s’harponna violemment sur le rouquin pour la 4 ème fois. Son corps rejeté en arrière et ses yeux vides de toutes expressions étaient perdus quelque part.
Hisoka l’acheva patiemment avant de se laisser tomber à son tour totalement épuisé sur les draps froissés. Le corps de Kurapika tomba lourdement sur le sien. Il était inconscient. Mais Hisoka n’avait pour l’instant pas le courage lui non plus de bouger. Il ferma les yeux alors que couché de tout son long sur lui, Kurapika s’était endormit directement.
Hisoka eut un sourire amusé.
-Tu t’es bien amusé ? Demanda une voix dans l’ombre.
-Tu es là depuis longtemps ? Sourit l’assassin.
L’homme sortit de l’ombre et vint s’asseoir dans un fauteuil prés de la fenêtre.
-Tu ne m’as pas remarqué ?
Hisoka repoussa le corps de Kurapika et se dirigea vers la salle de bain.
-Qu’est-ce que tu fais là ?
-Je passais t’apporter un message mais je ne voulais pas vous déranger.
-Urumi Zoldik !
-Comme tu veux.
Le frère aîné de Killua soupira et laissa un papier sur la table avant de sortir. Hisoka ne le regarda même pas. Il alla directement se doucher, tandis qu’allongé sur les draps blanc Kurapika dormait toujours aussi profondément.
-Il faudra que je leur demande l’adresse de leur fournisseur. Dit Hisoka pour lui-même. Mais il m’a achevé malgré tout ce gamin.
Le rouquin sortit de la douche et poussa Kurapika sur le côté.
-Allez pousse-toi un peu. Le blond se nicha contre lui mais ne se réveilla pas pour autant.
-Je suis un assassin pas une baby-sitter. Soupira celui-ci.
Il ferma les yeux et une étrange douleur à la poitrine le fit les rouvrir. Il porta une main à son cœur. Un serrement lui fit baisser les yeux à l’endroit où celui-ci battait. Un étrange symbole y était marqué. Il se tourna vers Kurapika.
« Sa chaîne ? » Pensa-t-il.
Il eut un nouveau sourire.
-Décidément entre toi et tes amis, je ne m’ennui jamais. Je ne regrette pas de vous avoir laissé en vie.
Et il se recoucha et s’endormit immédiatement. Son bras posé autour des épaules de son amant qui se re-nicha contre lui.



