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TITRE : La morsure de l’araignée

AUTEUR : le mouffon

GENRE : yaoi full. – de 16 ans s’abstenir

BASE : hunter x hunter

 

CRITIQUE : mouffon@hotmail.com

 

 

 

LA MORSURE DE L’ARAIGNEE chap02

 

 

 

 

Lorsque Kurapika ouvrit les yeux, il eut bien du mal à rassembler ses souvenirs. Il avait un immense trou noir entre le moment ou ce type lui avait fait l’injection et son réveil actuel. Il se redressa péniblement et passa une main fatiguée dans ses mèches blondes. Et une douleur le fit grimacé.

 

Il posa son regard sur le corps chaud près du sien.

Corps chaud… ?

 

Son esprit imprima un blanc. Ses yeux remontèrent le long du torse pour se poser sur un visage familier mais pas franchement apprécier.

Il recula en hurlant. Et tomba du lit affolé.

 

Hisoka se redressa à son tour avec un sourire.

-Ca y est la belle au bois dormant c’est réveillé ? Demanda-t-il en souriant sardoniquement.

 

Kurapika blêmit. Il avait attrapé le drap et le tenait serré contre lui malgré la vive douleur l’handicapant sérieusement.

Ce n’était pas possible. Un cauchemar… Une chose horrible, abominable. C’était inconcevable.

Il regardait avec horreur Hisoka se dresser devant lui, nu comme un ver. Le blond cru qu’il allait s’évanouir.

Ses lèvres tremblaient, ses yeux roulaient littéralement dans leurs orbites.

 

« Pitié… »Pensa-t-il en lui-même. « Quel cauchemar ! Je vais me réveiller. Dites-moi que je vais me réveiller. »

 

Le jeune homme était sur le point de tourner  l’œil.

Hisoka vint agiter son doigt sous son nez.

-Ce n’est pas très gentil avec la nuit qu’on vient de passer…Dit l’assassin en prenant un air faussement sérieux.

 

Kurapika le regarda et s’évanouit.

Hisoka contempla la scène surprit et haussa les épaules.

-Quelle petite nature ! Non mais, franchement ! Est-ce que je m’évanouis pour si peu moi ?

L’assassin s’amusait follement, il s’habilla tandis que Kurapika était toujours inconscient sur le sol, dénudé et à peine recouvert par le drap qui avait abrité leurs ébats nocturne. Il alla prendre le drap et l’arracha des fines mains blanches, il le jeta sur le lit et souleva le corps nu. Il l’emporta dans la salle de bain et le coucha sur le carrelage froid, là il fit couler l’eau de la douche et se mit à arroser généreusement son invité.

-Debout, la belle au bois dormant, c’est l’heure du petit déjeuné.

 

Kurapika ouvrit les yeux sous l’eau qui manquait de l’étouffer. Il se redressa vivement pour échapper au jet qui l’arrosait mais ses jambes ne le soutinrent plus, elles se mirent à trembler violemment et il se retrouva à nouveau sur le sol.

« Qu’est-ce qui m’arrive ? » Pensa-t-il. « Mes jambes. »

-C’est normal. Sourit Hisoka. Cette nuit a été torride. Et tu n’as pas l’habitude.

Kurapika attrapa la première chose qui lui tomba sous la main et le jeta au visage du rouquin.

-Dehors ! Hurla-t-il.

Le blond lui tournait le dos et tentait de cacher sa nudité ce qui eu le don d’amuser encore plus l’assassin.

-Tu étais beaucoup moins pudique cette nuit.

Hisoka lui envoya un baiser du bout des doigts, qui eu pour résultat de transformer Kurapika en furie.

Il se jeta tout rage dehors sur lui.

-On se calme ! Dit Hisoka en l’envoyant valser comme s’il s’agissait d’une poupée.

 Il le poussa légèrement du pied.

-On se lave gentiment et ensuite on va prendre son petit déjeuné. Je n’ai pas que toi à m’occuper.

-Je n’ai pas besoin de toi ! Hurla le blond.

-Très bien dans ce cas je te laisse te débrouiller. N’oublies pas de fermer la porte en partant et de laisser la consigne qu’on fasse la chambre !

 

La porte se referma derrière Hisoka alors que le blond était dans une rage infernale et jetait tout ce qui lui tombait sous la main sur celle-ci. Il était tellement furieux et enragé qu’il en pleurait.

 

Son calme revenu Kurapika se lava avec précaution. Ses jambes commençaient enfin à lui revenir. Il sortit de la salle d’eau et se dirigea vers la chambre. Il vit le lit défait et, ses vêtements déchirés et les marques de suçon sur sa peau. Il eut un haut le cœur. C’était impossible. Un cauchemar. Il se le répétait sans cesse. Sans arriver à rassembler suffisamment d’élément. Ou peut-être ne le voulait-il pas.

 

Ne serais-ce qu’imaginer qu’il ait pu faire une chose pareille. Avec un homme de surcroît. C’était inadmissible. Comme s’il avait du temps à perdre avec ça ! Il était furieux non contre Hisoka mais contre lui-même et contre cet homme qui l’avait drogué. Il y avait des brides de conversations quilui revenait mais il ne se souvenait pas de tout .Il devait régler ça. Mais pas avec ces vêtements là. Il regarda l’état de sa tenue.

Et il ne pouvait pas sortir de la chambre d’Hisoka comme ça. Il était appuyer sur la fenêtre de la chambre et regardait au dehors cherchant dans ses brides de souvenirs ce qui avait bien pu se passer, quand il essayait de se souvenir une douce chaleur se répandait en lui et il pouvait sentir remonter en lui une envie indéfinissable . 

 

Kurapika se mit à fouiller dans la chambre, surtout dans l’armoire et fini par dégoter de quoi se vêtir. Il allait se charger de se faire une tunique dans les vêtements d’Hisoka de toutes façons il n’avait pas vraiment le choix.

Alors qu’il s’apprêtait à entailler le tissu on frappa à la porte.

Il sursauta et ne su quoi faire ; ce n’était pas sa chambre qu’est-ce qu’il allait inventer comme histoire. Il faillit aller s’enfermer dans la salle de bain lorsque la porte s’ouvrit.

-Ce n’est que moi. J’ai pensé qu’il allait te manquer quelque chose…Dit-il en posant un sac sur le sol.

Il aperçu alors ses vêtements sur le lit et les ciseaux.

-As-tu l’intention de te venger de cette nuit avec mes vêtements ? Se moqua l’assassin.

Kurapika attrapa les ciseaux et les lui jeta au visage.

-Dehors ! Hurla-t-il en se tenant devant l’assassin.

-Pff…Soupira-t-il. Tu manques vraiment de vocabulaire.

Hisoka prit la direction de la porte pour partir puis sur le pas de celle-ci se retourna une dernière fois.

-Au fait tes amis sont déjà dans la salle de restaurant et se demandent ce que tu as fait cette nuit…Dois-je les en informer ? Demanda-t-il avec innocence.

-Jamais ! Hurla à nouveau le blond. 

-Dommage. Sourit l’assassin avant de sortir. Je me demande ce qu'il s penseraient de ce côté passionnée que tu leur cache ... Lacha le rouquin en riant. 

Kurapika était dans une rage telle que ses yeux en étaient redevenus rouge.

-Je le hais. Marmonna Kurapika en serrant les dents. Je le hais tellement que je voudrais l’étriper de mes propres mains, lui arracher les entrailles et m’en faire un collier. Hisoka je te tuerai ! Hurla le blond à pleins poumons.

 

Derrière la porte Hisoka secouait sa main gauche en souriant.

-Mais oui, mais oui…Disait-il, lorsqu’il entendit le jeune homme hurler à plein poumon, il s’arrêta en souriant. ce n'est pas ce que tu disais cete nuit se moqua t il en rouvrant la porte.

-Pervers! Lui cria le blond.

-Quelle voix ! Tu n'étais pas en reste cette nuit dois je te le rappeler?? Je suis sur que mes voisins de chambre en était jaloux. 

Kurapika en resta sans voix . Ses yeux exorbité fixait la porte qu'Hisoka venait de refermer en  riant. 

Puis enfin totalement calmer, Kurapika s’approcha vers le sac. Il le prit et le posa sur le lit. C’était des vêtements. Et étrangement parfaitement à sa taille. Le blond ne voulut pas savoir comment Hisoka pouvait à ce point connaître ses mensurations.

Mais à la seule image d’Hisoka de sensations étranges se mirent à faire trembler son corps. Il avait l’impression de sentir des mains bizarrement douces caresser son corps.

 

Il secoua la tête pour chasser celles-ci et s’habilla rapidement. Il devait rejoindre ses amis qui n’allaient pas manquer de lui poser des questions. Il sortit de la chambre et comme Hisoka le lui avait demandé, il appela la réception afin qu’on vienne faire la chambre.

 

Il descendit les escaliers et se rendit dans la salle de restauration où Gon et Killua s’empiffraient sous le regarda bienveillant de Leorio et de sa tasse de café. Kurapika s’avança vers eux.

-Ah enfin ! Où tu étais ? Demanda Gon. On s’inquiétait ! Leorio a dit que tu n’étais pas rentré de la nuit.

Kurapika prit place  et se reprit à deux fois avant de s'asseoir en réprimant une grimace , une hôtesse vint lui demander ce qu’il prenait.

-Une tasse de thé, s’il vous plait. Disons que j’ai eu de la compagnie.

-De la compagnie ?Demanda Gon. Qui ça ?

-Demande-lui plutôt quel genre de compagnie ! Souligna Leorio.

-Pas ce genre là ! Dit Kurapika légèrement agacé. Je ne suis pas comme ça !

Gon et Killua se regardèrent.

-Alors que s’est-il passé ?

-Je ne sais pas. Dit le blond. Mais je vais le savoir bientôt. 

Kurapika était agacé ce qui ne lui arrivait pas souvent . Ses doigts tapotaient nerveusement le plateau de la table. 

-Ah oui ? Gon le regardait boire tranquillement son thé.

-Tu ne veux pas nous expliquer ?

-Il n’y a rien à expliquer. Je trouverai celui-ci lorsque le moment sera venu. Sifla le blond en croisant ses mains sous son menton, Son regard était glacial.

-Quelle patience ! Soupira Killua. Moi je l’aurai déjà tué.

-L’impatience ne mène à rien. Il viendra de lui-même jusqu’à moi. Je n’ai pas à me fatiguer. 

Kurapika termina tranquillement sa tasse de thé. Autant que la leçon de cette nuit ,lui serve à quelque chose. Leorio reprit son journal et se replongea dans sa lecture.

 

C’est alors qu’un étrange visiteur entra dans la salle. Il était suivit par tout un groupe de garde du corps. Leur seule présence fit frémir Kurapika. Une chance qu’il soit passé remettre ses lentilles dans sa chambre avant de descendre sinon ses yeux auraient virés à l’écarlate instantanément. Le blond reposa sa tasse brutalement et renversa quelque goutte sur sa soucoupe. Son visage c’était durci et Senritsu remarqua immédiatement le changement dans les battements de cœur du jeune homme. Son agacement était intense et sa colère aussi.

 

Urumi qui était assit en face d’Hisoka se retourna lui aussi à l’arrivée de l’homme.

-Tiens-le voilà.

-C’est lui ? Demanda Hisoka.

-Oui, le nouveau dealer du moment. Sa nouvelle trouvaille, est ce qui t’as tenu éveillé cette nuit.

Hisoka sourit.

-Vraiment, c’est passionnant. Susurra le rouquin.

Urumi reprit sa tasse et la termina.

-Je me demande ce qu’il va faire ? Sourit le rouquin en posant son journal. 

-Qui donc ?

-Notre jeune ami.

-Quelle importance ?

-Aucune. Mais j’ai trouvé cela divertissant…Et, ce que je vais trouver encore plus drôle, c’est de le raconter à ses amis.

Urumi tourna un œil vers lui.

-Tu es vraiment un pervers ! Dit Urumi.

-Qui moi ? Demanda Hisoka avec innocence. Nullement. Je me suis laisser faire. Ne serais-ce pas plutôt à moi de jouer les effarouchés ?

-Pervers ! Répéta Urumi en détachant soigneusement chaque syllabe.

-Si je ne peux même plus m’amuser. Dit le rouquin en souriant.

 

L’homme continuait d’avancer tranquillement dans la pièce et aperçu la silhouette de Kurapika. Il s’avança vers lui et s’arrêta derrière lui. Le blond était tendu comme une arbalète.

-Quelle charmante surprise ! Dit-il d’une voix suave. Avez-vous bien profitez de votre soirée ?

Kurapika serra ses doigts autour de sa tasse.

Il prit une profonde inspiration pour essayer de calmer la colère qui montait en lui . 

-Vous auriez du rester avec nous, je suis sur que cela vous aurait beaucoup plut. Nous, nous serions bien occupez de vous.

Kurapika se redressa et se retourna vers lui avec une lenteur calculer.

-Ne vous inquiétez donc pas pour moi ! 

-Oh vraiment  ? votre soirée à du être des plus torride!!! ricana l'homme . Avez vous trouver quelqu'un qui a su vous satisfaire suffisament? 

Kurapika se redressa completement en se maîtrisant autant qu’il le pouvait. Il se tourna vers l’homme les yeux étincelant de colère. Sa chaîne vibrait tout autant de rage que lui.

-Vous n’avez pas apprécié ? S’étonna l’homme en prenant une voix doucereuse.Voter partenaire ne devait certainement pas être à la hauteur . 

Il se mit à s’éventer avec un éventail sans perdre Kurapika des yeux.

-C’est vraiment dommage. Oui vraiment ! Je me serai fait un plaisir de vous….

Il n’eut pas le temps de terminer sa phrase que la chaîne de Kurapika avait jaillit et l’étranglait à deux ou trois mètres au-dessus du sol.

 

Kurapika frémissait de rage.

-Je n’ai nul besoin de votre aide…Siffla-t-il.

-Oh, vraiment ? Vous avez trouvez un compagnon suffisamment armé pour vous calmer ? Suffoqua l’homme.

Hisoka suivait la scène avec un sourire amusé.

-Suis-je suffisamment armé ? Demanda-t-il à Urumi qui venait de prendre le journal.

-Je suppose. Répondit celui-ci.

-Ah, bon.Sourit Hisoka. Dans ce cas il serait bon que j’aille remercier ce monsieur pour ma charmante soirée.

-Hisoka ?

-Je me dois d’être poli.

L’assassin se leva et alla se pencher auprès de l’oreille de Kurapika qui bien trop énervé, ne l’avait pas sentit approcher.

-Ai-je été à la hauteur de tes espérances ? Susurra-t-il doucement.

-La ferme ! Hurla Kurapika en lui envoyant son poing dans la figure.

Mais Hisoka l’évita facilement et attrapa son poignet.

-Tss…Tss... Tss…Cette nuit me semble avoir émoussé tes réflexes.

Kurapika envoya l’homme s’écraser contre sa garde et se pencha pour récupérer la mallette.

-C’est une très mauvaise idée. Souligna Hisoka en lui souriant.

Kurapika se redressa piqué au vif.

-Toi…Toi… Ragea-t-il.

-Je ne savais pas qu’on en était déjà à se tutoyer. Ronronna l’assassin en passant un bras autour de ses épaules. Le rouquin en profita pour prendre la malette et l'ouvrir .

-Je me garderai bien quelques flacons.... Sourit le rouquin. 

L’homme se redressa afin d’envoyer sa meute contre Kurapika. Il voulait le blond et il l’aurait par tous les moyens. Et qui était cet homme qui venait se mêler de ses affaires ?

Kurapika eu tôt fait de se débarrasser d’eux ,puis il ficela à nouveau l’homme et arracha la mallette des mains de l'assassin.

-Voyons si ce programme fonctionnera aussi bien sur toi. Déclara froidement le blond.

Hisoka ne perdait pas une miette de l’échange et souriait.

Kurapika prit un flacon et une seringue.

-Aie ! Hurla l’homme. Ne fais pas ça !

-Oh, je vous ai fait mal ? Navré, mais je ne suis pas Leorio, moi !

Il injecta le liquide de couleur ambre à son bourreau, et le libéra.

-Qu’est-ce que tu as fait malheureux !

-Ce n’est pas à moi qu’il faut vous en prendre.

Kurapika prit un autre flacon et le posa devant Leorio.

-Tu pourrais m’examiner ça et me donner sa composition.

Le brun leva les yeux vers lui et prit le flacon.

-Ma foi... Pendant que les petits chercheront leur jeu et que tu seras occupé à jouer les gardes du corps, je n’aurai rien de mieux à faire. Ne t’en fais pas, je m’en occupe.

-Merci.

-Mais de rien. Sourit l’apprenti médecin

Pendant ce temps l’homme passait par toutes les couleurs de l’arc-en-ciel.

-Un souci ?S’enquit Kurapika.

-Je... je... je devrai supporter ça chaque fois... 

- A chaque fois que quoi ? 

L'homme etait devenu très pâle ... On en peut pas s'en libérer il faut toujours toujours .... la même personne il n'y auar que la première personne ..Haleta l'homme rondouillard et transpirant. 

-Je le fais bien ,moi ! Et voyez ce que je dois supporter à cause de vous.

Kurapika montra Hisoka de l’index.

-Donc la prochaine fois ,avant de vous livrer à ce type d’expérience, mesurez en les conséquences. Sur ce... Fit Kurapika. Je vous souhaite une bonne journée.

-Maudit sois-tu gamin ! Je t’aurai... Hurla l’homme furieux.

-Jamais sourit le blond, j'ai déjà bien assez à faire avec celui-là. Marmonna le blond en désignant Hisoka du menton. 

-Je vais te ...commença l'homme en essayant de l'approcher , mais plus prompte Hisoka lui fit un croche pied et l'homme roula sur le sol aux pieds de ses hommes de mains . 

-Mais oui... Si cela peut vous soulager.

-Tu auras chaud aux fesses gamin. Je peux te le garantir. Grogna l’homme.

Kurapika s’éloigna sans répondre. Il gagna le hall puis le grand escalier.

-Ca pour avoir chaud aux fesses, j’ai eu chaud ! Marmonna-t-il pour lui-même.

-Oh, vraiment ? Demanda Hisoka. Pourtant, j’ai été plutôt doux avec toi.

Le blond lui lança à nouveau son poing dans la figure mais à nouveau l’assassin le bloqua.

-Quel caractère, grand Dieu, quel caractère ! Heureusement que tu n’es pas une fille ! Tu ne trouverais pas de mari avec un tel comportement.

-Qu’est-ce que cela peut me faire ?

Hisoka se pencha vers lui et lui souleva le menton approchant son visage du sien.

-Ne veux-tu pas faire un héritier à ton clan ? Demanda-t-il d’une voix mielleuse.

Ce qui eut pour effet d’énerver à nouveau le blond.

Mais Hisoka le calma immédiatement en resserrant sa poigne sur son poignet et en l’embrassant.

 

Il le relâcha le laissant haletant.

-Je connais tous tes points faibles. Sourit-il en caressant le bas de son dos.

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